Les pas perdus de Denise Bonnal

Représentation 2015

26 et 27 Juin

Les acteurs

Dominique

Marie

Eliane

Corinne

Elisabeth

Anne Sylvie

Alexandra

Colette

Julie

Nicolas

Pascale

Le metteur en scène

Pascal Guin

Les enfants

- La sorcière du placard (Jeunes Pousses 1) :

Ah ! l’immobilier ! Quand de drôles de notaires vous proposent une maison à 5 €, il serait bon de se méfier. Tout y est pourtant, chambre, cuisine, salle de bains, living-room, pipi-room et ...placard aux balais. Mais quand on se met à chanter, c’est risquer de jouer à l’apprenti sorcier avec des sorcières qui, elles, ne sont pas nées de la dernière pluie...

(“Horrifique et jubilatoire. Ames sensibles s’abstenir.” Télégrama)

- Fabulons (Jeunes Pousses 2) :

Les fables, tout le monde connaît. Il ne faut jamais dire : “La Fontaine, je ne boirai pas de ton eau”. Tant qu’à fabuler, celles-ci ont pris un coup de jeune, et l’eau est décidément pétillante, piquante, épicée.

(“A consommer sans modération.” Ouest-Transe)

- Chansons sans son (Ados) :

Prenez quelques chansons, retirez la musique, que reste-t-il ? Des tranches de vie, des histoires courtes, des vignettes de BD, des portraits sans fard de l’animal humain si attachant, si agaçant.

(“Ces ados, c’est comme du Mozart. Même le silence est eux. De la même énergie.” NRZiva)

Troupe adulte : Les pas perdus de Denise Bonnal

En attendant le train, la comédie humaine continue sur les quais : amour, drame, scènes de la vie quotidienne; du tragique, du comique, du romantique, de la tactique, des tics, des gens chics et des gens pas chics. Une belle brochette de rires et d’émotions à goûter sans modération.

Lecture publique

Extraits de "CRI" de Laurent Gaudé

le 10 nov à la médiathèque de riec sur Belon à 20H

Lecture publique d'extraits de "CRI" de Laurent Gaudé à la médiathèque de riec (20h) par quelques acteurs de la troupe. Il s'agit de textes faisant parler les soldats de la guerre 14-18 face à l'assaut des troupe allemandes dans les tranchées : vous entendrez Castellac, Ripoll, Messac, Barboni, M'Bossolo et d'autres; Courage, humanité, fraternité et respect ressortent de ces textes forts.

"Dans les tranchées où ils se terrent, dans les boyaux d’où ils s’élancent selon le flux et le reflux des assauts, ils partagent l’insoutenable fraternité de la guerre de 1914. Loin devant eux, un gazé agonise. .... A l’arrière, Jules, le permissionnaire, s’éloigne vers la vie normale, mais les voix des compagnons d’armes le poursuivent avec acharnement. Elles s’élèvent comme un chant, comme un mémorial de douleur et de tragique solidarité, prenant en charge collectivement une narration incantatoire, qui nous plonge, nous aussi, dans l’immédiate instantanéité des combats, avec une densité sonore et une véracité saisissantes." (actes sud)